Nous ne l’avons pas oublié mais notre premier projet demande des aménagements qui prennent autant de temps que de réflexion. Vous vous souvenez peut-être que nous sommes parti(e)s de l’image ci-dessus. Après concertation, il s’est avéré que l’environnement de notre oiseau ne satisfaisait personne et que le tout était beaucoup trop chargé. Nous avons donc décidé de sortir l’oiseau de son contexte, avec, en projet, de lui trouver un fond qui plaise à toutes. C’était pas gagné.

Georgette s’est chargé de décalquer notre bestiole sur un fond vide et nous nous promettions de lui trouver un fond digne de sa majesté !. Et voici le résultat.

Et là, il nous est apparu comme une évidence que notre oiseau se suffit à lui-même et que, si nous n’agrandissons pas excessivement le fond, il n’aura pas besoin que nous lui trouvions un accompagnement dont le seul but, il faut bien le dire, était d’éviter que le tissu ne bride de trop.
Donc, c’est dit : pas de fond

Reste, néanmoins, à lui trouver une bordure suffisament fluide et légère pour rappeler son plumage mais assez structurée pour « tenir » l’ouvrage. En feuilletant un livre prêté par Hélène, nous avons repéré cette bordure qui, elle aussi, s’est imposée d’elle-même. La voici :

Répétée tout le tour de l’ouvrage, elle devrait être du meilleur effet. Nous avons fait une « tentative » pour voir ce que ça pourrait donner : voilà le résultat


Bon tout cela reste encore à affiner, à unifier, à tracer. Nous sommes encore loin du compte mais…ça viendra

A bientôt pour de nouvelles aventures !