Enfin ! Quel plaisir de nous retrouver, de partager quelques moments de nos vacances, de prendre des nouvelles des unes et des autres et, aussi, d’admirer les ouvrages de l’été.

Commençons par le petasson d’Aline dont vous avez déjà eu un aperçu mais que vous verrez aujourd’hui sans la teinte bleutée due à une photo… disons hasardeuse.

Beaucoup mieux, non ? D’autant qu’il revient de loin celui-là. Le dessin avait été tracé et retracé et, de plus, il était tout gondolé après le lavage. Hommage soit ici rendu à Mr Aline, à sa patience et à ses muscles qui ont réussi à lui rendre son plat et sa dimension.

Le centre. Patience de remplissage des carrés, très régulier dans leur méchage…

Quelques axes d’amélioration encore possibles sur ce premier ouvrage qui est déjà suivi d’un deuxième et le troisième pointe son nez…

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Du lourd maintenant, du très lourd. Mais du très beau. Même si vous le connaissez probablement déjà, vous aurez certainement plaisir à détailler le sixième… Sixième quoi ? Mais, jupon de Georgette, bien sûr, sur taffetas de soie gris dessus et batiste blanche dessous !

N’ébruitez pas la chose mais il paraît qu’un septième, en piqué marseillais, serait en préparation…

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Maintenant, le vermiculé d’Anne-Marie

Un ouvrage de longue haleine (1 m x 0.75 m), blanc sur blanc, dont la réalisation s’est étendue sur quatre ans et pas mal d’heures de travail.
1,5 km de fil de piqûre, presque deux bobines de coton à mécher.

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Quelques détails.

Les tuyaux sont méchés une fois sur deux pour le centre. Sur le bord, le méchage des fleurs ne concerne que leur centre et tous les tuyaux sont méchés.

Un point d’œil au cœur des fleurs, un ourlet cocotte pour border le tout et, hop !, le tour est joué !