Françoise avait encore une petite jeune fille à fêter. Elle a choisi de reproduire les délicieux  pochons déjà offerts à ses nièces, avec succès n’en doutons pas. Mais cette fois, elle a opté pour des grilles rigolotes, appliquées sur des tissus toujours judicieusement sélectionnés. Comme d’habitude, l’exécution est soignée, méticuleuse, recherchée. Bref, c’est notre Françoise !

 

Quant à Elilsabeth, elle est passée de la Provence, avec la cigale que vous avez déjà vue, à la capitale avec une tour Eiffel pas banale du tout.

La frise du haut est mêchée avec du coton à canevas marron foncé, la tour elle-même est mêchée en marron plus clair. Ce n’est pas évident sur la photo mais très visible sur l’ouvrage. Le tout est piqué en noir sur des « spaghetti » blancs. L’effet est très contrasté et d’autant plus saisissant qu’elle y a ajouté des « re-broderies » par dessus (les croix que vous voyez sur les pieds de la demoiselle). Du beau travail, encadré en argent brossé, donc pas trop brillant.

Une réussite !