Mireille a su s’occuper les mains, et probablement la tête, pendant ces longues périodes qui ont rendu les sorties plus rares. Elle n’a pas perdu son temps

Pour commencer, une petite robe « trois trous », comme notre amie Régine les apprécie particulièrement. Celle-ci est taillée dans un joli tissu provençal (pas ancien, précise Mireille) mais gai et frais qui a dû l’aider à passer les fortes chaleurs.
Vous ne manquerez pas de repérer l’élégance des ganses et le raffinement du travail autour de l’étiquette. Malheureusement, la photo est un peu floue mais il n’y a pas de quoi bouder son plaisir !

Maintenant, passons au « chef d’oeuvre » de Mireille. C’est d’ailleurs grâce à lui que nous l’avons rencontrée. N’ayant pas la place nécessaire chez elle pour étaler son travail au moment d’en superposer les couches, elle a cherché une association « à grandes tables », et c’est comme ça qu’elle est arrivée parmi nous. La vie réserve de ces fantaisies, tout de même !

Une myriade de petits bouts récoltés ici ou là ajoutés à d’autres petits bouts, le tout finissant par former des carrés assemblés entre eux. Mireille dit avoir eu du mal à quilter le travail. Pas étonnant, certains endroits devaient présenter plusieurs épaisseurs de tissu à l’endroit des coutures.

Que de patience, de goût dans l’accord des couleurs et de finesse dans l’exécution du travail.
Et maintenant, la chute des températures aidant, il sert !

A bientôt pour de nouvelles aventures !